Découvrez l'histoire inspirante d'un jardin expérimental au sein d'une communauté de travailleurs migrants, né de la collaboration entre Vergers du Monde et Coallia. Suivez le parcours des résidents, réunis autour d'une passion commune pour la culture, alors qu'ils transforment un espace en un lieu de partage et d'apprentissage.

Le sorgho est une plante ancienne qui connaît un nouvel essor ! Dans cet article captivant, explorez les secrets de cette culture millénaire qui attire de plus en plus d'attention. Découvrez les techniques de culture qui en font une option durable et prometteuse. Plongez dans les nombreux bénéfices nutritionnels et les bienfaits pour la santé que cette plante peut offrir, et laissez-vous surprendre par sa polyvalence culinaire.

Découvrez l'agriculture biodynamique avec Jean Paul Loisy de la ferme d’Osseux. Grâce à des pratiques innovantes, comme l'utilisation de cornes de vaches pour enrichir le sol et la dynamisation de la bouse, Jean Paul favorise un environnement sain pour ses cultures. L'utilisation de silice de corne renforce la résistance des plantes et améliore la qualité des produits. De plus, l'évolution accélérée du compost promet des bénéfices durables. Ne manquez pas notre visite prochaine pour en savoir plus sur cette approche écologique de l'agriculture.

Alors que la géographie unique de la Mésopotamie a permis la naissance de l'agriculture, elle a également présenté des défis significatifs. Les agriculteurs ont dû faire preuve d'astuce et d'inventivité, en trouvant des moyens de contrôler la quantité d'eau qui atteignait leurs cultures et en faisant face au sel qui menaçait de rendre leur sol infertile.

Créer un jardin tibétain en France, mission impossible? De l'identification des plantes locales adaptées aux conditions climatiques rigoureuses à la recherche de solutions pour contourner les limitations des producteurs de plantes aromatiques et médicinales, découvrez comment Namgyal, un Manpa tibétain en exil, a guidé notre approche en nous apprenant à observer les plantes locales sous un nouvel angle, ouvrant ainsi la voie à une compréhension plus profonde de l’agriculture tibétaine.

Au sein de leurs jardins, les cultivateurs donnent libre cours à leur créativité, échappant aux nombreuses contraintes réglementaires qui pèsent sur le quotidien des agriculteurs. Ici, ils peuvent explorer, prendre le temps de s'émerveiller, à l'abri des jugements. Malgré les disparités d'objectifs et de taille, peut-on envisager que ces oasis de liberté puissent inspirer des pratiques agricoles à plus grande échelle?

Découvrez le parcours de Thierry, agriculteur en Bourgogne ayant opté pour la conservation des sols, les techniques culturales simplifiées et de couvert végétal.

Plongez dans un rêve japonais au cœur de Laval-en-Brie, à deux pas de Paris. Mura, l'écovillage conçu par quatre femmes de Tokyo, offre une expérience sensorielle unique, mêlant ateliers artisanaux, balades gourmandes et traditions japonaises. Une autre manière d’aborder l’agritourisme.

A la lumière des travaux menés par deux chercheures, l’une agro-ethnologue spécialiste des régions himalayennes, l’autre géographe experte des grands deltas, nous voyons comment la question de l’eau devient centrale à travers le monde, faisant écho aux sécheresses que nous vivons également en France. Comment s’adapter?

Devina est née à l'Île Maurice. Enfant, son père qui était agriculteur lui a appris à prendre soin de la terre. Désormais réfugiée en France, elle tente le rêve incroyable de s’installer sur un espace-test dans la Nièvre, préservant ainsi les savoirs écologiques paysans mauriciens.

En ville ou à la campagne, le végétal offre un magnifique terrain de jeu et d’apprentissage pour les enfants, leur permettant d’explorer les origines des aliments, la culture des plantes et leurs propres perceptions, et transformant chaque séance en une expérience éducative passionnante et mémorable.

C'est devenu une préoccupation majeure pour les citoyens : comment intégrer dans nos repas des aliments sains, traçables, produits localement et de manière responsable ? En arrière-plan, une question sous-jacente et moins souvent abordée se pose : l'alimentation en Occident est-elle sur le point d’évoluer avec les changements climatiques ?

La viticulture, souvent associée au charme des vignobles, cache une réalité précaire avec 40% des travailleurs saisonniers ayant des contrats temporaires. Dans ce contexte, les agriculteurs exilés peuvent-ils s’insérer dans ce secteur et échanger des savoirs sur la taille ou la protection des vignes?

Les femmes peuvent-elles jouer un rôle dans la préservation de savoirs ancestraux botaniques? Trois rencontres nous ont apporté un début de réponse.

Vergers du Monde se distingue des initiatives d'insertion professionnelle telles que le Réseau Cocagne ou les IAE, mais offre un espace où les agriculteurs locaux et les réfugiés peuvent partager leurs connaissances. Cependant, l'intégration professionnelle, symbolisée par des contrats à durée déterminée ou indéterminée, ne résout pas facilement les défis auxquels font face des individus comme Stéphane et Kakajan.

Durant la visite de la ferme de la Corne au Cerf au coeur du Parc naturel régional du Morvan, Lobsang, agriculteur tibétain a présenté les différences de climat avec les régions himalayennes dont il est originaire, ainsi que le rapport aux plantes dans sa culture.

Thanush, originaire du Sri Lanka, vient comparer la traite en France au sein de la ferme du Val d’Osseux dans la Nièvre avec celle qu’il a connu auprès de son grand-père.

Philippe Collin, agriculteur en Haute-Marne, souhaite créer une ferme coopérative. Il convie Kunga et Lobsang, réfugiés originaires du Tibet, pour un projet de SCOP ou de SCIC.

Amy et David étaient autrefois citadins. Vers l'âge de trente ans, ils ont choisi de venir s'installer sur une activité de naturopathie et de maraîchage bio dans le Morvan. Leur chemin croise celui de quatre agriculteurs afghans réfugiés.

Lors d'un atelier Agriculture d'ici et d'ailleurs, les participants nous offrent leur perception de l'agriculture. Alors que les échanges sont bien engagés, la langue devient une barrière plutôt qu'un pont. Quelles solutions pour y remédier?